Les candidats passent... Debré, toujours, aboie

Il y a comme un air de déjà vu dans la charge assassine de Jean-Louis Debré contre Nicolas Sarkozy le week-end dernier dans les colonnes du Journal du Dimanche. Florilège : "Qui sème le vent récolte la tempête." "C'est une faute politique que de dénigrer constamment l'action d'un gouvernement auquel on appartient."


Comme en 1995 contre Balladur, Chirac et Villepin ont lâché le fidèle Debré pour abattre l’ennemi. En 1995, c’était contre Balladur au service de Chirac. En 2006, c’est pour Villepin ou Alliot-Marie contre Sarkozy. Les candidats passent mais Debré, lui, toujours aboie.

La fidèle de Sarkozy, Nadine Morano, a trouvé le mot pour en rire : "Il faut stopper le soldat Debré."

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Comments:
A droite, la machine à perdre est enclenchée. A tel point qu'à l'UMP, il se murmure qu'ils pourraient organiser des primaires, histoire de mettre tout le monde d'accord.
 
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