Du grand Carlier
Les "royalistes" qui écoutaient France Inter dans leur salle de bain hier matin en se rasant ont dû se couper de rage sur le coup des huit heures moins dix, heure de la chronique matinale de Guy Carlier. Depuis qu’il n’est plus le faire-valoir de Fogiel, Carlier a retrouvé tout son mordant. Ce dernier a livré deux anecdotes qui en disent long sur la favorite des sondages et son entourage.
La première sur son sens inné de la com’. A Lens, lors de la première confrontation des candidats à l’investiture, la soi-disant compagne de François Hollande, s’est éclipsée pour rendre visite au premier ministre espagnol. Guy Carlier raconte comment elle quitta la scène en ces termes : « On la vit pousser un handicapé sur sa chaise roulante en feignant de repousser les caméras qui se pressaient de filmer la scène, tel Moise écartant les eaux de la mer rouge. »
La deuxième anecdote, proprement hallucinante, témoigne de la sincérité des convictions politiques des barons ségolistes. Au cours d’un meeting auquel assistait le chroniqueur, un éléphant socialiste l’entraîne par le bras pour lui confier : « Si c’est elle qui est investie, c’est pire que tout : elle est tout sauf de gauche, c’est une arriviste réactionnaire. Son avènement signerait l’arrêt de mort du PS. » Le lendemain, surprise du chroniqueur d’Inter de voir à la télé le même éléphant faire l’éloge de celle qu’il fustigeait la veille, pour finalement annoncer en grande pompe son ralliement.
La preuve que la classe politique a pris la mesure des problèmes auxquels est confrontée la France.
Les best-sellers politiques
La première sur son sens inné de la com’. A Lens, lors de la première confrontation des candidats à l’investiture, la soi-disant compagne de François Hollande, s’est éclipsée pour rendre visite au premier ministre espagnol. Guy Carlier raconte comment elle quitta la scène en ces termes : « On la vit pousser un handicapé sur sa chaise roulante en feignant de repousser les caméras qui se pressaient de filmer la scène, tel Moise écartant les eaux de la mer rouge. »
La deuxième anecdote, proprement hallucinante, témoigne de la sincérité des convictions politiques des barons ségolistes. Au cours d’un meeting auquel assistait le chroniqueur, un éléphant socialiste l’entraîne par le bras pour lui confier : « Si c’est elle qui est investie, c’est pire que tout : elle est tout sauf de gauche, c’est une arriviste réactionnaire. Son avènement signerait l’arrêt de mort du PS. » Le lendemain, surprise du chroniqueur d’Inter de voir à la télé le même éléphant faire l’éloge de celle qu’il fustigeait la veille, pour finalement annoncer en grande pompe son ralliement.
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