Le vrai-faux cambriolage du domicile de Ségolène Royal
Rentrée en fanfare : visiblement pressée d'en découdre avec Sarkozy, la favorite des sondages s'en est pris au ministère de l'intérieur, accusé d'avoir divulgué l'information du cambriolage de son domicile à la presse. «Il est scandaleux que cette information ait été diffusée par le cabinet du ministre de l'Intérieur, alors que j'avais demandé que cet incident reste confidentiel», a-t-elle déclaré.
Visiblement pas à un paradoxe près, Ségolène Royal laisse entendre que l'affaire serait plus grave qu'il n'y paraît… car rien n'aurait été dérobé dans l'appartement. «Il ne s'agit pas d'un cambriolage, mais d'une intrusion et de la fouille intégrale de mon domicile, où rien n'a été volé», assure la favorite socialiste des sondages. Elle aurait découvert les faits jeudi soir, à son retour de vacances, un jour avant François Hollande. «Tout a été retourné, les placards ont été vidés», dit-elle. Et d'ajouter, sur un ton un peu dramatique : «Je ne me sens pas intimidée par ce qui s'est passé.»
La polémique s'est ensuite enclenchée avec le ministère de l'Intérieur. La présidente de Poitou-Charentes a accusé, dans un premier temps, l'entourage de Nicolas Sarkozy d'avoir rendu l'histoire publique. La Place Beauvau a aussitôt démenti être à l'origine de la fuite. «Dont acte», a répondu ensuite Ségolène Royal pour calmer le jeu, en précisant qu'elle ne soupçonnait «quand même pas» le ministère de l'Intérieur d'avoir organisé une éventuelle tentative d'intimidation. «Il est normal de s'interroger sur les motivations de ce qui s'est passé», a-t-elle cependant expliqué.
Entre-temps, pour allumer un contre-feu, des proches de Nicolas Sarkozy sont montés au créneau pour polémiquer avec elle. «Je constate qu'elle perd son sang-froid», a déclaré hier Roger Karoutchi, secrétaire national de l'UMP. «Elle cherche à jeter le discrédit sur les services du ministère de l'Intérieur pour organiser sa propre promotion.» «On est dans le rocambolesque», a ironisé le député Yves Jego.
Un coup tordu monté
par une officine ?
Très remontée, un rien paranoïaque, Ségolène s'est laissée aller à dire qu'elle avait «fait vérifier la sécurisation de ses lignes téléphoniques». Mais par qui ? Il ne s'agit pas d'un service classiquement offert à la clientèle des opérateurs téléphoniques. A moins que la police lui ait aimablement prêté le concours des techniciens oeuvrant pour la DST, les RG ou la PJ. Toujours est-il que Royal sous-entend qu'elle aurait pu être victime d'une officine. Ce qui amuse certains policiers. «Quand une officine fait un travail, elle ne laisse pas de traces de son passage ou alors elle maquille son intervention en cambriolage en volant précisément quelques objets de valeur», confie un officier rompu aux investigations sensibles. Mais puisque rien n'a été volé à Boulogne…
Le couple n'a pas porté plainte immédiatement. Ségolène Royal assure avoir, en revanche, «fait un signalement au commissariat». Du côté du premier secrétaire du PS François Hollande, on a choisi de ne pas commenter. Une enquête a tout de même été confiée à la PJ des Hauts-de-Seine par le parquet de Nanterre «eu égard à la personnalité des victimes». Une source proche de l'enquête prétend que «rien ne permet de penser que le ou les intrus avaient une idée particulière en liaison avec les occupants de l'appartement».
Et si c'était un coup des éléphants ?
Les best-sellers politiques
Visiblement pas à un paradoxe près, Ségolène Royal laisse entendre que l'affaire serait plus grave qu'il n'y paraît… car rien n'aurait été dérobé dans l'appartement. «Il ne s'agit pas d'un cambriolage, mais d'une intrusion et de la fouille intégrale de mon domicile, où rien n'a été volé», assure la favorite socialiste des sondages. Elle aurait découvert les faits jeudi soir, à son retour de vacances, un jour avant François Hollande. «Tout a été retourné, les placards ont été vidés», dit-elle. Et d'ajouter, sur un ton un peu dramatique : «Je ne me sens pas intimidée par ce qui s'est passé.»
La polémique s'est ensuite enclenchée avec le ministère de l'Intérieur. La présidente de Poitou-Charentes a accusé, dans un premier temps, l'entourage de Nicolas Sarkozy d'avoir rendu l'histoire publique. La Place Beauvau a aussitôt démenti être à l'origine de la fuite. «Dont acte», a répondu ensuite Ségolène Royal pour calmer le jeu, en précisant qu'elle ne soupçonnait «quand même pas» le ministère de l'Intérieur d'avoir organisé une éventuelle tentative d'intimidation. «Il est normal de s'interroger sur les motivations de ce qui s'est passé», a-t-elle cependant expliqué.
Entre-temps, pour allumer un contre-feu, des proches de Nicolas Sarkozy sont montés au créneau pour polémiquer avec elle. «Je constate qu'elle perd son sang-froid», a déclaré hier Roger Karoutchi, secrétaire national de l'UMP. «Elle cherche à jeter le discrédit sur les services du ministère de l'Intérieur pour organiser sa propre promotion.» «On est dans le rocambolesque», a ironisé le député Yves Jego.
Un coup tordu monté
par une officine ?
Très remontée, un rien paranoïaque, Ségolène s'est laissée aller à dire qu'elle avait «fait vérifier la sécurisation de ses lignes téléphoniques». Mais par qui ? Il ne s'agit pas d'un service classiquement offert à la clientèle des opérateurs téléphoniques. A moins que la police lui ait aimablement prêté le concours des techniciens oeuvrant pour la DST, les RG ou la PJ. Toujours est-il que Royal sous-entend qu'elle aurait pu être victime d'une officine. Ce qui amuse certains policiers. «Quand une officine fait un travail, elle ne laisse pas de traces de son passage ou alors elle maquille son intervention en cambriolage en volant précisément quelques objets de valeur», confie un officier rompu aux investigations sensibles. Mais puisque rien n'a été volé à Boulogne…
Le couple n'a pas porté plainte immédiatement. Ségolène Royal assure avoir, en revanche, «fait un signalement au commissariat». Du côté du premier secrétaire du PS François Hollande, on a choisi de ne pas commenter. Une enquête a tout de même été confiée à la PJ des Hauts-de-Seine par le parquet de Nanterre «eu égard à la personnalité des victimes». Une source proche de l'enquête prétend que «rien ne permet de penser que le ou les intrus avaient une idée particulière en liaison avec les occupants de l'appartement».
Et si c'était un coup des éléphants ?
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L INTERET DE SARKO EST D AUGMENTER LA PRESSION MEDIATIQUE SUR SEGO AFIN DE LA POUSSER A FAIRE UN FAUX PAS POLITIQUE MAIS ELLE EST MALINE LA BOUGRESSE QUI SERA LA POTICHE L ELYSEE? SARKO OU SEGO DE TOUTE FACON CE SERA MIEUX QUE LE LOCATAIRE ACTUEL AFCOS16 ANGOULEME
Royal est une girouette.Dans son discours cet aprés-midi de 3/4h,elle a répété 4 fois la même chose.Là c'est la Suède qui était son modèle,avec une grosse tartine pour les syndicats.Quand cette femme dit-elle la vérité?Blairiste?
Mitterandiste?et on nous dit ses conseillers on écrit ce discours pendant les vacances,mais ce sont des truffes alors,et faites le tour des news,ils disent tous la même chose quelle merveille!!!!
Mitterandiste?et on nous dit ses conseillers on écrit ce discours pendant les vacances,mais ce sont des truffes alors,et faites le tour des news,ils disent tous la même chose quelle merveille!!!!
Je suis d'accord. Ségolène sait flatter un coup à gauche un coup à droite. Et c'est pour ça qu'elle est populaire. La démagogie est malheureusement une vertu quand il s'agit de conquérir le pouvoir.
Chirac disait en 1995, avant son élection, à ses conseillers : "ma démagogie vous surprendra."
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Chirac disait en 1995, avant son élection, à ses conseillers : "ma démagogie vous surprendra."
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