Toutes griffes dehors


Jusqu'à présent, la Zapatera disait "ne pas s'occuper" de la campagne des autres, campant solidement sur son terrain : exprimer "des valeurs" et développer ses propositions.
En difficulté dans les sondages (doux euphémisme), la voilà qui montre les dents et vient sur le terrain favori du premier flic de France, alias "la matraque" (dixit Chirac), à savoir l'invective et la provocation.
Déjà très remontée contre Sarko lors de son voyage la semaine dernière aux Antilles, où elle a dénoncé sa conception "clanique" du pouvoir, la candidate socialiste semble se rappeler qu'elle représente un parti de gauche. Devant 3.500 personnes, jeudi soir à Grenoble, elle s'en est prise à nouveau à son rival de l'UMP, que dix sondages donnent vainqueur pour la présidentielle, depuis le 15 janvier."Je ne veux pas de cette société du "tous contre tous et du chacun pour soi" qu'un autre nous prépare, je ne veux pas d'un projet où la jeunesse est infantilisée, considérée comme une menace, un danger", a affirmé Mme Royal lors d'un débat participatif consacré à la jeunesse.Marie-Ségolène n'y est pas allé avec le dos de la cuillère : "On pourra envoyer tous les bataillons de police et de gendarmerie que cela n'y changera rien, par les mots de la provocation, rien n'est réglé", a-t-elle lancé.Dans un final flamboyant, elle a accusé à mots couverts le numéro deux du gouvernement de rechercher "l'organisation de l'insécurité" afin d'en faire "un argument de campagne pour faire peur" et a fustigé "les médias amis du pouvoir, qui relaient tous les coups, tous les pièges, toutes les chausses-trappes". Sarkozy tremble déjà.

Les best-sellers politiques
Comments:
M. Sarkozy est un grand récupérateur. Son discours, parfaitement démagogique, tend à masquer ses contradictions. Il parle de revaloriser le travail, mais il propose de supprimer l'ISF et l'impôt sur les successions. Or, sur ce sujet justement, Léon Blum, en 1946, dans son livre « A l'échelle humaine », avait expliqué qu'on pouvait créer une société socialiste - c'est-à-dire plus juste - en augmentant l'impôt sur les successions des plus fortunés. M. Sarkozy est donc aux antipodes de la pensée de Blum. En réalité, M. Sarkozy tire, tout à fait provisoirement, parti d'une entrée en campagne remarquablement médiatisée. Dès la fin du mois de février, Mme Royal reprendra l'avantage.

On prend date ?

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COMMUNIQUE DE PRESSE - UNE PREMIERE EN FRANCE

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COMMUNIQUE DE PRESSE
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COLLECTIF « Nationalistes contre Le Pen »

100% NATIONALISTES – 100% CONTRE LE PEN !

« SAUVONS NOS IDEES »

PAS UNE VOIX POUR LE CANDIDAT RESIDUEL DU FN !


Nous représentons d’ores et déjà plus de 600 militants de la Cause Nationale, et nous nous sommes regroupés dans un Collectif pour alerter l’opinion sur la très grave crise que traverse notre courant d’idées. Cette crise qui couve depuis les élections régionales de 2004 est en train d’éclater et nous ne pouvions pas rester sur le côté sans rien faire, nous contentant d’observer la mort du Mouvement National, Mouvement auquel nous avons consacré nos vies et sacrifié notre bien être.

Il est clair que Jean Marie Le Pen a décidé contre vents et marées que sa fille lui succéderait. Il est clair qu’il l’aidera, elle et son quarteron de médiocres, à réaliser un authentique « coup d’état démocratique » au sein du Front National, un deuxième et mortel «Puputsch » en quelque sorte. Nous ne pouvons pas laisser perpétrer ce crime sans agir. Agir nous allons le faire, et pas de n’importe quelle manière, puisque, pour la première fois, des nationalistes authentiques vont mener campagne pour que Jean Marie Le Pen ne SOIT PAS AU SECOND TOUR DE L’ELECTION PRESIDENTIELLE !

C’est une première dans notre camp. Ca ne s’est jamais vu. Pour d’évidentes raisons politiques, logiques et pragmatiques, la plupart des membres de ce Collectif resteront dans l’ombre. Pourquoi ? Tout simplement parce que la moitié d’entres nous est encore membre du Front National, parfois même dans l’encadrement. L’autre moitié est composé de militants du MNR écoeuré de voir Bruno Mégret humilié dans sa démarche sincère, de militants d’une quinzaine d’autres formations dégoûtés de l’attitude du FN à leur égard, et surtout de militants de toujours qui voient bien l’impasse ou nous mène Marine Le Pen. Nous représentons toutes les tendances du monde Nationaliste, nous disons bien TOUTES, des « Identitaires » aux « Nationaux Libertaires », en passant par les « Nationaux Républicains » qui en ont assez des « Soraleries », les Nationalistes Révolutionnaires sincères (et légitimes) qui sentent que nous allons droit au mur, et, bien évidemment, les Catholiques de conviction qui savent que le FN cède à la ringardisation médiatique de nos idées, alors que celles-ci n’ont jamais eu autant le vent en poupe. Le point commun qui nous unit est le PRAGMATISME. Nous savons que si Le Pen est au second tour, C’en est fini de nos idées pour au moins une décennie. Nous avons longuement hésité avant de nous lancer dans cette aventure. Nous avons espéré en un sursaut de JM Le Pen. Peine perdue, ce dernier n’écoute plus que sa fille. En décembre tout aurait encore put être sauvé, mais en février il est trop tard. Le triste spectacle que ne manquera pas de donner Jean Marie Le Pen les 24 et 25 février lors de sa « Convention » de Lille nous donnera immanquablement raison. Ce sera un vulgaire conseil national au lieu d’être la grande Convention générale de soutien à sa candidature. Ce sera à la fois pitoyable et pathétique. Carl Lang n’aura même pas le droit de parler à la Tribune avant Jean Marie Le Pen, alors que tous les simples secrétaires départementaux le font lors des « banquets patriotiques ». Rien que ce fait, pas si anecdotique que ça, montrera de façon éclatante la volonté de Le Pen de ne pas voir le FN lui succéder. Cela démotivera les sections FN du nord de la France, comme cela a déjà été le cas pour la PACA ou le Front National n’a même plus de militants dans l’endroit de France ou il réalise pourtant ses meilleurs scores. La petite réunion de quartier prévu par Le Pen, Salle Vallier à Marseille (celle prise par M Mégret en 2002, tout un symbole), le 3 mars prochain, le démontrera aisément.

Nous n’avons pas d’argent pour mener cette campagne mais nous avons du courage, de la force et de la volonté. Les plus anciens d’entres nous se souviennent que c’est en agissant comme nous, (mais pour des raisons orgueilleuses et radicalement différentes), que Le Pen a empêché Pascal Gauchon et le PFN de pouvoir se présenter à la Présidentielle de 1981, (alors que le PFN était au moins quatre fois plus fort que le FN), ce afin d’assurer sa suprématie au sein de la « Droite Nationale ». Nous, nous agissons par idéal pur et désintéressé. Tout le monde se tait « officiellement » au FN, mais tout le monde sait bien que la crise est réelle depuis 2004, bien qu’elle était déjà larvée depuis 2002. C’est pour le seul avenir de nos idées que nous combattons et l’avenir nous donnera raison. Aidez-nous dans cette lutte salvatrice, soutenez-nous dans notre action de salut public, nous ne voulons pas d’argent mais seulement des bonnes volontés. Lisez-nous, reprenez partout nos écrits, faites connaître notre site Internet, donnez-nous vos contributions. Tous nos articles seront signés du seul nom du COLLECTIF. Nous avons démarré le samedi 3 février 2007 par une dizaine de contributions donnés par les militants les plus sincères, les plus dévoués et les plus abattus par cette situation. La faute de ce gâchis incombe uniquement à Marine Le Pen, à ses sbires et à Jean Marie Le Pen. Les entendre affirmer que le FN ne change pas est une pitrerie qui ne nous fait pas rire du tout. Nous avons toutes les preuves du contraire grâce à des témoignages directs et des archives écrites, audio et vidéo. Si vous avez le moindre doute contactez-nous, nous nous ferons un plaisir de vous répondre.

Nous espérons que la Presse relaiera notre action, à commencer par ce communiqué, premier d’une longue série. N’hésitez pas à reprendre tous les écrits et commentaires de notre site, c’est fait pour cela, tout est authentique, contrôlé et vérifié.

Avant de conclure, nous voulions citer deux des phrases préférées de Jean Marie Le Pen. « Si j’avance suivez-moi, si je meurs vengez-moi, si je recule tuez moi », et, « Je préfère être battu sur mes idées qu’élu avec celles des autres ». A méditer, dont acte !

Enfin deux conclusions, également à méditer et à faire partager.
- Comment Le Pen ferait-il demain pour la France, ce qu’il n’a jamais ni pu, ni su, ni voulu faire hier pour le Mouvement National ?
- Le Front National, ça s’hérite ou ça se mérite ?

Cette conclusion pour dire que nous n’avons AUCUNE leçon à recevoir du clan Le Pen, à commencer par Marine. On peut nous insulter mais nous agissons avec honnêteté. Nous montons au Mas de Cocagne avec le « caleçon propre » et nous avançons « tête haute et mains propres ».

Collectifnatio@aol.com

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Claude Allègre, ancien ministre PS : "Fabius est à contre emploi, et Ségolène Royal, malheureusement, montre sa réalité (...) son côté pusillanime" (Le Parisien)
Martine Aubry, ancienne ministre socialiste. A déclaré : « qu’elle se jettera dans la Seine » si ses camarades rallient la candidature de Ségolène Royal.
Claude Bartolone, ancien ministre, député de Seine-Saint-Denis (socialiste) : s’exprimant sur la réponse que Ségolène ROYAL a faite à propos de l’entrée éventuelle de la Turquie dans l’Union européenne (« Mon opinion est celle du peuple français »), il déclare "Avec un raisonnement comme cela, il y aurait encore la peine de mort, les innocents d’Outreau auraient été exécutés".
Michel Charasse, sénateur PS du Puy-de-Dôme : "Les propositions de Mme Royal sont peut-être au premier abord populaires, mais si on réfléchit un peu, on voit que le paquet est plus beau que le cadeau". (Le Figaro)
Max Gallo, historien, ancien ministre de François Mitterrand : s’exprimant sur la proposition de Ségolène Royal de créer "des jurys de citoyens", "on a la Révolution culturelle du président Mao, qui voulait « tirer sur le quartier général » et faire juger les professeurs et tous les représentants par le peuple, représenté par les militants qui viennent juger et condamner ceux qui sont élus"
Laurent Fabius, ancien Premier ministre, Député de Seine-Maritime (socialiste) : "Je préfère dire : « Voici mon projet », plutôt que : « Mon projet, c’est Voici ! »
Michel Rocard, ancien Premier ministre socialiste : Les jurys populaires, proposés par Ségolène Royal, "confinent à la stupidité". (Revue électronique Sens public)
Dominique Strauss-Kahn, candidat à l’investiture socialiste : "Je suis pour une société de confiance alors que je vois assez fortement une société de suspicion sur certaines propositions qui ont été faites, comme celle sur les jurys populaires." (Interview au Monde)
 
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