Villepin monte sur ses grands chevaux

Villepin parle
pour ne rien dire
Libération, dans son édition du 2 mai, en dresse la liste. Parmi les plus importantes, on retiendra :
- A quel titre vous êtes-vous intéressé à Clearstream ? Au début de l’affaire - la vraie, c’est à dire celle qui concerne le blanchiment de commissions occultes prétendument perçues par des industriels et des fonctionnaires dans la vente des frégates à Taïwan – Dominique de Villepin était au Quai d’Orsay et, à ce titre, n’avait pas autorité sur les services de renseignement, qui dépendent de l’Intérieur et de la Défense.
- Que faisait Jean-Louis Gergorin lors du rendez-vous du 9 janvier 2004 avec le général Rondot ?
- Pourquoi n’avez-vous pas prévenu Sarkozy ? « C’est le reproche récurent dans l’entourage du président de l’UMP. Villepin savait et il l’a dissimulé à son collègue ministre. Au mieux, ce serait « une mauvaise manière » ; au pire, « l’indice d'une mauvaise intention ». » (Libération)
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